Conscience et mémoire sans domicile fixe...
Délocalisation ponctuelle de la pensée, théorie qui fédère un nombre croissant de scientifiques de toutes les disciplines.
Pour le neurochirurgien Eben Alexander, dont le cerveau a été en mort clinique naturelle, une « dérivation » s’est opérée : sa conscience a observé de l’extérieur les évènements autour de son corps aussi bien qu’à grande distance, puis les a rapportés lorsqu’elle a réintégré le cerveau « de nouveau habitable ». (Dr Eben Alexander »Le preuve du paradis : voyage d’un neurochirurgien dans l’après vie ».
John Eccles, Prix Nobel de médecine : « la conscience contrôle et dirige le cerveau, lequel nourrit cette conscience mais ne la produit pas ».
Peter Fenwick, neurologue: « le cerveau est la grille d’entrée de la conscience ».
Emmanuel Ransford, physicien quantique : « conscience et mémoire sont sans domicile fixe dans notre cerveau ».
Mario Beauregard neuroscientifique : « Le cerveau n’est pas l’esprit ; c’est un organe adapté pour connecter l’esprit au reste de l’univers ».
Les nouveaux modèles de la conscience n’en finissent plus de rallier des suffrages dans la communauté scientifique, comme auprès du grand public.
(cueilli ds le superbe livre de Didier van Cauwelaert « le nouveau dictionnaire de l’impossible »)